Plus de 500 visiteurs étaient présents aux Portes ouvertes de l’ÉNA, le 18 février 2018, afin de découvrir le domaine de l’aéro et ses besoins criants en main d’oeuvre.
Avec autant de visiteurs, l’ÉNA a enregistré une hausse significative d’une soixantaine de participants aux portes ouvertes comparativement à l’année précédente. Les jeunes ont pu profiter de leur visite pour valider leur choix entre les programmes techniques en Maintenance d’aéronefs, Génie aérospatial et Avionique tout en rencontrant les nombreuses entreprises de l’aérospatiale venues témoigner de leurs importants besoins en main-d’œuvre.
Plusieurs démonstrations animées par des enseignants et étudiants attendaient les participants : conception assistée par ordinateur, contrôle de la qualité, aérodynamisme, laboratoire avionique, etc. Par ailleurs, pour une cinquième année consécutive, l’activité Sortie de filles a offert une occasion privilégiée à 11 futures étudiantes de découvrir la place des filles dans le milieu traditionnellement masculin qu’est l’aérospatial. Un nombre record d’entreprises, 21 au total, étaient également présentes à l’événement afin d’informer les visiteurs sur les possibilités d’emplois.
Une carrière unique dans un secteur en forte demande
Alors qu’on observe une progression des perspectives d’emploi, les étudiants qui choisissent un programme de l’ÉNA accèderont à des carrières prometteuses et uniques. Au Québec seulement, quelque 31 681 postes seront à pourvoir d’ici 2026 selon les dernières données recensées par le Comité sectoriel de main-d’œuvre en aérospatiale (CAMAQ).
L’industrie de l’aérospatiale, l’une des plus importantes au pays, offre des carrières très diversifiées et stimulantes, de la fabrication des aéronefs et ses composantes à l’entretien et la réparation. Peu importe le poste occupé, les diplômés de l’ÉNA travailleront dans un domaine de hautes technologies où les défis sont nombreux.
Des diplômés en emploi… et à l’université
Au terme de leurs études collégiales, les étudiants ont le choix de poursuivre des études universitaires ou accéder directement au marché du travail. Ainsi, chaque année, de 30 à 40 % des diplômés de l’ÉNA choisissent de poursuivre des études universitaires en génie. Pour ceux qui décident d’aller sur le marché du travail, les possibilités de trouver un emploi rapidement sont excellentes. Le taux de placement moyen des programmes au cours des trois dernières années des diplômés est d’environ 90 % et devrait continuer de monter. Les diplômés travailleront dans les grands centres alors que d’autres feront le choix de travailler en régions éloignées.
(Source : ÉNA)