D’autres actes de vandalisme au parc Joseph-Véronneau à Sainte-Julie

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Par Daniel Bastin
D’autres actes de vandalisme au parc Joseph-Véronneau à Sainte-Julie
Une partie du sol en caoutchouc près des glissades a été arraché dans le parc Joseph-Véronneau, fraîchement rénové, et un trampoline a été saccagé. (Photo : La Relève - Daniel Bastin)

À l’instar de nombreux homologues un peu partout au Québec, le maire de Sainte-Julie déplore les actes de vandalisme qui se multiplient sur son territoire, dont au parc Joseph-Véronneau qui a été récemment rénové au coût de 1 M$. Une étude est présentement en cours dans la ville en collaboration avec l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) pour trouver des solutions.

Récemment, une partie du sol en caoutchouc près des glissades a été arraché dans le parc fraîchement rénové et un trampoline a été brûlé. Le 11 septembre, la toilette du parc a été vandalisée alors que les malfaiteurs ont brisé le thermostat et le lavabo, en plus de boucher les drains, provoquant sa fermeture.

Dans un reportage du Journal de Montréal du 9 octobre sur cette problématique/cet enjeu, le maire Mario Lemay avait rappelé qu’un module de jeu complet au parc Ringuet avait été incendié et que ces actes causaient bien des désagréments aux utilisateurs, coûtaient cher inutilement à l’administration municipale et causaient un sentiment d’insécurité pour certains.

Soulignons qu’une étude est en cours à Sainte-Julie au sujet de la cohabitation des différents groupes de la population dans les espaces publics, en collaboration avec l’INRS. « Celle-ci nous permettra d’identifier les enjeux de cohabitation comme la sécurité, la règlementation et le partage des ressources dans les espaces publics et de trouver des solutions pour régler les problématiques », a précisé M. Lemay.

Des entretiens individuels d’une durée de 45 minutes avec des jeunes entre 14 et 24 ans sont présentement menés dans le cadre de cette étude. Ces rencontres ont notamment comme objectif de connaître les préoccupations des jeunes en lien avec la vie de quartier, le milieu éducatif, la vie de famille et le partage des espaces publics. Les personnes intéressées peuvent mentionner leur intérêt à la chercheuse Lili Arcand au lili.arcand@inrs.ca.





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