Les entreprises en aérospatiale ont actuellement un grand besoin de main-d’œuvre qualifiée afin de combler la demande de travailleurs dans cette industrie de pointe.
L’ÉNA prévoit que, d’ici mai 2018, 262 finissants obtiendront leur diplôme dans l’un de ses trois programmes techniques, en Maintenance d’aéronefs, en Génie aérospatial et en Avionique. Ce nombre est inférieur aux besoins déjà exprimés par les entreprises.
L’industrie aérospatiale connaît actuellement une croissance importante. Malgré des petits creux, depuis environ 30 ans, la tendance est claire : le nombre d’emplois manufacturiers en aérospatiale n’a pas cessé d’augmenter au Québec. Le Comité sectoriel de main-d’œuvre en aérospatiale (CAMAQ) recensait un peu plus de 20 000 emplois en 1984, alors que ce chiffre est grimpé à 41 000 emplois en 2016. On prévoit une augmentation de 7 % en 2017, pour atteindre 44 000 emplois.
Les diplômés de l’ÉNA sont appelés à travailler dans les secteurs aussi variés que les transporteurs aériens, des entreprises de réparation et de maintenance d’aéronefs, des industries de fabrication de composants d’aéronefs, des organismes gouvernementaux, les Forces canadiennes, etc. Ils peuvent même être employés dans des industries connexes (ferroviaire, électronique, éolien, etc.). Leur salaire varie entre 39 000 et 44 000 $ dès leur entrée sur le marché du travail et augmente considérablement en cours de carrière.
Intéressé à faire partie de cette industrie passionnante en pleine expansion? Il suffit de se rendre découvrir les programmes de l’ÉNA aux Portes ouvertes du dimanche 12 novembre, de 10 h à 15 h, ou encore de participer à l’activité Étudiant d’un jour.
(Source : École nationale d’aérotechnique)